Y'en a marre!

Alors qu'il traîne une série de casseroles digne de figurer dans une liste de mariage, l'honorable, l'honnête, l'époux exemplaire Éric Woerth vient d'autoriser le licenciement de Xavier Mathieu, le leader des "Conti" suite à une non réponse de ce dernier à une proposition de reclassement qui lui a été faite le 9 septembre sur le site de Sarreguemines...ce qui est complètement faux puisqu'en date du 24 septembre il a fait part de son "réel intérêt" à cette proposition...

Aurons-nous droit à ça:

- David Pujadas : « Bonsoir Éric Woerth, vous êtes le ministre du travail. On comprend bien sûr votre désarroi, mais est-ce que ça ne va pas trop loin ? Est-ce que vous regrettez ces violences ?  »
- David Pujadas : « Je vous pose la question. »
- David Pujadas : «  Pour vous la fin justifie les moyens »
- David Pujadas : « Éric Woerth, on entend votre colère, mais est-ce que vous lancez un appel au calme ce soir ?  »

Ruth Elkrief, consœur du Pujadas ci-dessus nommé, assimile JL Mélanchon à JM Le Pen après qu'il ait réagi comme on sait à l'interview de Xavier Mathieu par Pujadas qui posait les mêmes questions à un leader syndical en colère après le rejet du pourvoi des "Conti" par la justice...encore une tête à claques que je range à côté des Apathie, Perdriel et Mougeotte...

Alors que nos dirigeants continuent à faire semblant de ne pas comprendre que la "répartition" concernant le financement des assurances sociales ne doit plus être un mot qui ne concerne QUE LES SALARIÉS mais toutes les rémunérations, y compris celles du capital et le capital lui-même (au titre de la productivité), il est clair que les journalistes "aux ordres" se déchaînent dans le sillage des invectives "aboyées" par les ministres, secrétaires d'état et leader UMP sur ordre de leur maître...

Y'en a marre!

Hé! Vieux planqués du gouvernement! Organisez donc une journée "blanche" pour tout le monde en France, une journée où tous les travailleurs pourraient aller dans la rue sans perdre leur salaire, sans qu'ils soient sous la menace de représailles ou de licenciement de la part de leurs employeurs...ce jour là, la journée blanche pourrait virer au noir et pas besoin de calculette préfectorale ou syndicale pour compter les millions de citoyens en colère!

CHICHE?

---